Bien’ici Corporate / Actualités / Quel avenir pour les passoires thermiques ?
Les logements notés F ou G représentent 12% des annonces de transactions sur Bien’ici, une part deux fois plus importante qu’en 2021. Bien'ici constate un bond de 2 à 4% des logements dits « G » et de 5 à 8% pour les « F ». 11% des locations référencées sur Bien’ici sont des logements aux DPE F et G, des chiffres stables depuis 1 an.
CAS PARTICULIER : PARIS
Si la moyenne nationale demeure stable, les logements à louer avec un DPE F ou G représentent ¼ de l’offre locative parisienne. 10% des biens y sont classés G et ne pourraient plus être loués si la loi était appliquée dès aujourd’hui. Une part qui n’a pas évolué depuis 2021. Pour les biens à vendre, la présence de ces biens sur le marché a doublé en 1 an, pour atteindre 25% de l’offre présente sur Bien’ici.
QUEL IMPACT ?
SUR LA LOCATION
La pression générée par la pénurie de biens est si importante que le critère DPE ne joue pas un rôle clé sur la décision de louer. La règle du « 1er arrivé, 1er servi » continue à s’appliquer tant que le candidat répond aux critères de revenus.
SUR LA TRANSACTION
Bien’ici observe en revanche un léger effet sur les contacts : plus la note du DPE est élevée sur une annonce, plus le volume de demandes la concernant baisse !
Les passoires thermiques vont représenter une part non négligeable du marché immobilier dans les mois et les années à venir. Certaines d’entre elles représentent de belles opportunités pour les particuliers à la recherche d’une bonne affaire, retrouvez la liste des biens référencés F ou G sur Bien’ici.
En France, le prix au m² des logements G a diminué d'environ 25% depuis juin 2021. Même à Paris sur les T1.