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Bien’ici Corporate / Actualités / L'évolution des prix de l'immobilier au T3 2024 selon notre baromètre Stat'ici

23/10/2024
Les prix de mise en vente des logement continuent de baisser sur ce troisième trimestre 2024. Les prix se régulent d’eux même par le marché. Après avoir atteint des sommets ces dernières années poussés par l’inflation et par des vendeurs trop gourmands, les prix ont amorcé une lente baisse. Aujourd’hui les prix ont baissé de 3% en un an et 7% en 2 ans. La baisse est nettement plus visible sur les appartements : les citadins sont poussés en périphérie des villes voire dans des villes limitrophes à cause des prix trop élevés dans les hypers centres.

Nous observons une baisse globale des prix moyens affichés au m2 sur les annonces diffusées sur Bien'ici, avec un effet plus marqué sur les appartements à vendre dans les grandes villes. Du côté des maisons à vendre, les prix stagnent depuis un an, à un niveau environ +6 % supérieur à celui de début 2022.



Les villes podium

Si la tendance des prix affichés est à la baisse, quelle est la situation réelle des prix affichés dans les agglomérations de plus de 30 000 habitants ?


Top 10 des villes où le prix médian a augmenté


Ville
Prix médian
Variation sur 1 an
Brest (29)
182 450 €
+24 %
Besançon (25)
177 000 €
+19 %
Mulhouse (68)
108 000 €
+16 %
Narbonne (11)
171 000 €
+16 %
Grasse (06)
247 450 €
+15 %
Saint-Quentin (02)
67 200 €
+14 %
Dunkerque (59)
176 500 €
+14 %
Caen (14)
196 150 €
+13 %
Maisons-Alfort (94)
385 000 €
+13 %
Antony (92)
392 000 €
+12 %




"Brest est une ville dynamique portée par une demande toujours soutenue, une offre qui peine à suivre et toujours parmi les villes les moins chères de France. En effet l'attractivité croissante de Brest, l'effort de renouvellement du parc urbain et l'effet de rattrapage aux tendances du marché national booste les chiffres. Ainsi, le marché brestois, qui partait d’une base basse, connaît une croissance des prix plus marquée en raison de cet effet de rattrapage et des nouvelles dynamiques qui influencent la demande."
Christine CHARLOT - Responsable commerciale Bien'ici

Top 10 des villes où le prix médian a diminué


Ville
Prix médian
Variation sur 1 an
Tourcoing (59)
118 675 €
-26 %
Arles (13)
150 000 €
-25 %
Reims (51)
171 200 €
-21 %
Calais (62)
106 930 €
-20 %
Vénissieux (69)
195 000 €
-18 %
Le Blanc-Mesnil (93)
248 000 €
-14 %
Nîmes (30)
172 015 €
-13 %
Bondy (93)
189 900 €
-13 %
Noisy-Le-Grand (93)
273 000 €
-12 %
Grenoble (38)
164 250 €
-11 %



"Caen est reconnue pour ses monuments historiques et son dynamisme par ses infrastructures scolaires, médicales et commerciales. C’est une ville renommée pour sa sécurité. L’offre étant limitée elle ne permet pas de répondre à la demande de logement importante, à la location et à la transaction. La population étant en forte hausse, les prix ne cessent d’évoluer mais restent cependant toujours abordables pour une ville où il fait bon vivre."
Amélie LECARPENTIER - Responsable commerciale Bien'ici

L'analyse du marché de la transaction par Bien'ici

Le troisième trimestre se veut généralement décisif pour marquer la tendance annuelle et cette année 2024 montre des signes de changements sur le marché immobilier.


Après 12 mois de stabilité de l’offre et une demande moins intense, le marché de la transaction se retourne ce troisième trimestre avec une baisse de l’offre. En particulier au mois de septembre où la demande progresse de +15% par rapport à 2023, signe d’un rééquilibrage rendu possible par une baisse des prix de vente et une hausse du pouvoir de financement des acquéreurs, avec un taux d’emprunt qui baisse depuis le début de l’année. Cette conjoncture propice à un redémarrage devrait se poursuivre sur les prochains mois. Le gain de pouvoir de financement des acquéreurs pourrait cependant stopper la baisse des prix, mais dans ce marché où le niveau d’offre reste élevé, il n’est pas dit que les prix remontent avant la fin de l’année.
Ce dernier trimestre pourrait devenir ainsi le meilleur moment pour acheter !


Si des améliorations se profilent désormais, cette crise du logement n’est pas encore passée, en particulier dans les zones tendues. L’envie et le besoin de logement sont toujours bien présents et l’intérêt prend de l’ampleur dans les sphères économiques, politiques et sociales. Il faudra désormais attendre le bilan de fin d’année pour confirmer que la reprise du marché immobilier est bien entamée.